L'amère à boire
Bon puisque toute la planète est courant, je peux bien le dire sur mon blog. Le papa des poussins s'est fait la malle. Enfin, c'est une facon de parler parceque pour l'instant, on habite toujours sous le même toit et puis c'est plutôt moi qui vais prendre mes petites valises et m'en aller ailleurs voir si j'y suis. Le choc passé ou presque, j'entrevois enfin la situation sous un jour meilleur et je peux déjà faire le compte de quelques points positifs:
- Je n'aurais plus a manger des hamburgers carbonisés sous pretexte que c'est comme ca qu'ils sont meilleurs quoiqu'on en pense
-Je ne serais plus obligée de subir le hockey durant
1-les longues soirées d'automne
2-les longues soirées d'hiver
3-les longues soirées de printemps.
- J'aurais le droit d'avoir en moyenne 1 vraie grasse matinée par semaine
-Je n'aurais plus besoin de porter le tchador
- Je pourrais laisser une casserole sale (ou bien pire évidemment mais je préfère ne pas faire de description...) trainée une semaine (ou bien pire évidemment mais je préfère ne pas préciser) sans aucune culpabilité ni remarque d'aucune sorte.
-Je pourrais écouter la Compagnie Créole trop fort (comme dirait Nouknouk) sans avoir à l'assumer
-Je vais enfin pouvoir aller vivre à Ouagadougou ou encore dans les plaines du Kantchaka si ca me tente évidemment.
Et enfin, le jour venu, je ne vais pas me ruiner en frais de démenagement
Bon voilà, il suffisait juste de changer l'angle d'approche pour trouver qu'après tout, ce n'est pas l'amère à boire.
ps: Ce petit jeu de mot très québécois n'est pas de moi, c'est le nom d'une chouette brasserie sur la rue Saint-Denis).
- Je n'aurais plus a manger des hamburgers carbonisés sous pretexte que c'est comme ca qu'ils sont meilleurs quoiqu'on en pense
-Je ne serais plus obligée de subir le hockey durant
1-les longues soirées d'automne
2-les longues soirées d'hiver
3-les longues soirées de printemps.
- J'aurais le droit d'avoir en moyenne 1 vraie grasse matinée par semaine
-Je n'aurais plus besoin de porter le tchador
- Je pourrais laisser une casserole sale (ou bien pire évidemment mais je préfère ne pas faire de description...) trainée une semaine (ou bien pire évidemment mais je préfère ne pas préciser) sans aucune culpabilité ni remarque d'aucune sorte.
-Je pourrais écouter la Compagnie Créole trop fort (comme dirait Nouknouk) sans avoir à l'assumer
-Je vais enfin pouvoir aller vivre à Ouagadougou ou encore dans les plaines du Kantchaka si ca me tente évidemment.
Et enfin, le jour venu, je ne vais pas me ruiner en frais de démenagement
Bon voilà, il suffisait juste de changer l'angle d'approche pour trouver qu'après tout, ce n'est pas l'amère à boire.
ps: Ce petit jeu de mot très québécois n'est pas de moi, c'est le nom d'une chouette brasserie sur la rue Saint-Denis).